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> Concours De Fanfiction, Concours terminé.
Aquila
Ecrit le : Mar 14 2007, 01:54 PM
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Pour ma part, je rendrai mon oeuvre samedi. ^^
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yuto
Ecrit le : Mar 18 2007, 08:46 AM
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Dernier jour pour m'envoyer vos oeuvres.
Cinq participations reçues.
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jul12
Ecrit le : Mar 19 2007, 07:56 AM
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c'est aujourd'hui que le "juge" Yuto rend le verdict ^^
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Narushima
Ecrit le : Mar 19 2007, 01:52 PM
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Non, c'est aujourd'hui qu'il reçoit les derniers textes.
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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 03:50 PM
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Je pense avoir reçu tous les textes de ceux qui désiraient participer. J'ai déjà mon opinion mais j'attends les avis de Gunter et Samanubis pour me prononcer définitivement sur le résultat.
Attendez vous à l'avoir dans la soirée donc smile.gif
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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:12 PM
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Finalement, j'ai reçu six participations, et nous avons eu beaucoup de mal à nous départager entre deux.

Après un long débat, c'est Aquila qui est sortit vainqueur de ce concours!

Félicitations à lui, et aux autres participants qui se sont bien débrouillés également. Chacun recevra son lot une fois que j'aurais finis de poster toutes les participations.
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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:14 PM
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La fic du vainqueur, Aquila:

QUOTE
Jamais l’on est à l’abri

La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux journées que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut, et je devais à présent y apporter la plus grande attention. Je devais coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant qu’ils ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté.
Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin. C’est alors que je le vis.
Un corps ensanglanté, déchiqueté, démembré, qui semblait avoir subi toutes les tortures humainement possibles.
Alors que je me retenais pour ne pas vomir, j’entendis un bruit inquiétant à mon instinct.
Tremblant, je pris mon fusil d’assaut à deux mains et le pointais dans toutes les directions. La sueur commençait à perler de mon front.
Quelques fourrés furent animés d’un imperceptible mouvement.
En quelques minutes, plus d’angoisse et de peur m’envahissait qu’en plusieurs jours. Etait-ce ce corps qui désarmait mon esprit humain ? Ou cette atmosphère soudainement inquiétante ?
C’est alors qu’une masse formidable surgit tout à coup.
Mon premier réflexe fut d’appuyer sur la gâchette en hurlant et en reculant.
La bête hurla un cri des plus aiguë.
Alors qu’elle levait une de ses pattes vers moi, quelque chose lui atterrit dessus et la projeta sur le côté.
La chose poussa un hurlement rauque en lui donnant des coups.
Silence.
La chose se releva, c ‘était un humanoïde muni d’un masque en fer, armé d’une lance. Quant à la bête, c’était une sorte d’énorme araignée, avec un long cou et une tête pourvue de dents pointues et d’une crête.
L’humanoïde trancha la tête de sa proie, me regarda un instant et partit à travers la jungle.

Je continuai mon périple pendant une semaine, me semblait-il, la notion du temps devenant difficile pour moi. Me nourrissant de fruits, de petits animaux et d’eau, je subsistais tant bien que mal. Je n’avais pas rencontré à nouveau l’humanoïde ni une de ces créatures monstrueuses. J’y avais laissé un chargeur entier, il ne m’en restait plus que trois.
C’était sûrement une de ces énormes bêtes qui avait réduit le corps que j’avais aperçu en bouillie.

A l’aube, après quelques heures de marche, j’entendis un bruit familier : le ronronnement d’un moteur qui tournait au ralenti.
Le vaisseau !
Il était tout près, je me mis à courir. Alors que je déboulais de la lisière, face à une clairière, je vis un campement. Le vaisseau au milieu, quelques caisses, des tentes et des traces de bivouac.
Mais surtout une dizaine de corps à moitié dévorés. Pétrifié par cette horreur, je ne bougeai plus.
Tout à coup, un homme sortit en courant de la jungle, à l’opposé de la clairière, en face de moi.
Il hurlait en avait l’air terrifié.
Un de ces énormes monstres apparut derrière lui, non sans arracher un arbre au passage, et le poursuivi.
Il le rattrapa en quelques secondes, l’attrapa dans sa gueule et le dévora en le déchiquetant.
Après avoir fini son bref repas, la bête me regarda.
Elle s’élança vers moi au moment où je la visais. Je vidai tous mes chargeurs sur elle et, bien que ruisselant de sang, elle n’avait pas l’air affaiblie.
En désespoir de cause, je pris une grenade, je la dégoupillais et je fonçai sur la bête, alors éloignée de quelques mètres.
Au moment où elle ouvrit sa gueule pour me happer, je lançai la grenade et je couru entre ses jambes vers le vaisseau.
Quelques secondes plus tard elle explosa dans une volée de boyaux et de tripes.

Epuisé et soulagé, je montai à bord du vaisseau et je commençai le processus de décollage.
Alors que l’engin s’élevait dans les airs, je fermai les yeux, pour me reposer un peu, mais j’entendis un bruit étrange.
C’est en tournant la tête que je vis ce masque, désormais familier…

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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:16 PM
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La fic de celui qui nous a tant fait hésiter sur le choix du vainqueur, Narushima:
(Message perso: c'était la première fois que l'on te lisait, et ce fut très agréable ^^)

QUOTE
La Bête

La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux jours et deux nuits que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Je n'avais que peu de réserves d'eau et de nourritures dans mon paquetage, et ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut. Je devais à présent tenter par tous les moyens de les préserver au maximum. Il me fallait coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant que mes camarades ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté. Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin, tentant de retrouver mon chemin.

C’est alors que je le vis. Ou plutôt que je cru le voir. La végétation tropicale de cette planète ne permettait pas d'y voir bien loin, et tout n'était que mouvement et bruits étouffés autour de moi, sans que je ne voye jamais les animaux responsables de cette agitation. Mais tout cela n'avait rien de bien inquiétant. Non, c'était le bruit d'une jungle comme les autres, pas de quoi s'inquiéter.

Mais lorsqu'il apparu, tout devient calme et silencieux. On aurait dit que les animaux eux-mêmes n'osaient plus bouger, ni même respirer. Ce silence brutal me remplit d'angoisse et de peur. Je restais sur place, incapable de faire le moindre mouvement, sauf celui de mon doigt se crispant sur la gachette de mon fusil à impulsions. Regardant droit devant moi, je vis des fougères remuer, puis plus rien. Quelques secondes après, j'entendis le même bruit derrière moi, puis sur ma gauche. Je n'y voyais rien, le jour venait à peine de se lever et les grands arbres ne laissaient pas passer beaucoup de lumières, mais j'étais prêt à parier qu'il était seul.

J'essayais de me faire violence, me disant qu'il me suffirait sûrement de faire assez de bruit pour le faire fuir, quoi que ce fut, mais une force irrésistible m'empêchait d'entreprendre la moindre action. Je restais alors cloué sur place, pendant ce qui me parut des heures, attendant je ne sais trop quoi. Allait-il me sauter dessus pour me dévorer ? J'attendis ainsi, chaque muscle de mon corps tendu à l'extrème, de grosses gouttes de sueur perlant sur mon front, puis...le bruit des animaux de la jungle repris petit à petit. D'abord timide et lointain, il redevint vite ce brouhaha caractéristique ponctué de cris plus forts et plus violents produits par les singes. Alors je me détendis, je me mis à regarder autour de moi : rien. Rien de plus que la jungle, comme si rien ne s'était passé.

Je décidais de reprendre ma marche et d'oublier cet incident, mais rien n'y fit, je repensais sans cesse à cette sensation de peur inexplicable, presque animale, comme un instinct de survie. Je me demandais surtout pourquoi elle m'avait frappé là alors que c'était désormais le troisième jour que je passais dans cette jungle entouré d'animaux tous plus effrayants les uns que les autres sans en ressentir aucune angoisse particulière. Pourquoi avais-je ressenti cette peur, que visiblement le reste de la jungle avait elle aussi ressentie ?

Tout en me posant ces questions et en priant pour que cela ne se reproduise pas, je débouchais dans une petite clairière, et décidai alors d'y installer ma tente, vu que je n'avais pas dormi de la nuit et que la fatigue commençait à se faire sentir. Il me vint alors à l'idée que tout ceci n'avait peut-être été qu'une hallucination de mon cerveau trop fatigué. Même si, au fond de moi, je n'y croyais pas un instant, j'essayais de m'endormir avec cette idée afin de me rassurer. Je dormi d'un sommeil agité, peuplé de cauchemars effrayants dans lesquels je me transformais en un monstre grotesque et m'enfuyais alors dans la jungle, comme appelé par une voix intérieure.

Comme il n'y avait aucun arbre pour me procurer de l'ombre, je fus révéillé par la chaleur des rayons du soleil. Je me suis redressé sur ma couche, trempé de sueur, l'esprit encore pris dans mes rêves. Lorsque j'ouvris la tente, un air frais s'y engoufri et me fit le plus grand bien. Je déjeunais sommairement avec quelques biscuits et un peu d'eau, conscient que je n'en avait plus pour longtemps si je ne trouvait pas une source d'eau douce rapidement. Ou mieux, retrouver les soldats de mon escouade, mais celà me paraissait de plus en plus improbable ; pourquoi m'auraient-ils attendus aussi longtemps ? J'entamai déjà mon quatrième jour de solitude, et je me voyais mal en sortir vivant, surtout avec cette créature rôdant dans les parages. Il me fallait pourtant continuer...

Cinq jours et cinq nuits plus tard, je n'avais plus d'eau, plus de vivres. Il ne me restait que mon fusil, que je ressentait alors plus comme un poids mort qu'autre chose, vu qu'il ne m'avait jusqu'alors servit à rien. La soif et la faim m'avait rendu faible, et je n'arrivais à marcher qu'avec l'aide d'un grand bâton qui me servait de canne. Je sentais le peu de forces qui me restaient me quitter peu à peu, ainsi que ma vie. Cette jungle n'avait rien à m'offrir. Je ne m'en étais pas apperçu en arrivant, mais aucun arbre ne porte de fruits. Aucune baie, aucune racine comestible, même pas un cours d'eau. Maudite jungle ! Je ne voulais pas mourrir comme ça, ça ne pouvait pas se passer ainsi ! Je me laissa tomber contre un arbre, m'adossant à son tronc. Je ne pourrais pas me relever, je n'en avais pas la force. Je laissais tomber ma tête sur ma poitrine, car elle me paraissait peser des tonnes, et alors mes yeux se posèrent sur ce qui me restait. Attaché autour de mon coup par une lannière, mon fusil était là, sur mon ventre, chargé et prêt à tirer. Je ne m'étais fait attaquer par aucune créature tout au long de cet enfer, il fallait bien qu'il me serve à quelque chose. Je le pris dans mes mains tremblantes, je dus faire des efforts surhumains pour le maintenir contre mon crâne, mes lèvres desséchées se serrèrent, et je m'apprétais à tirer...Puis le vacarme de la jungle s'estompa à nouveau, comme la première fois. Je laissais tomber mon arme, et alors je le vis. Un alien. C'était un alien. Là, devant moi. Je ne l'avias pas entendu approcher, et pourtant il était à à peine deux mètres de moi, debout, semblant me regarder. C'est la créature la plus incroyable qu'il m'est été donné de voir. Son crâne était allongé et lisse, presque brillant. Son corps ressemblait à une sorte de squelette métallique noir, et il avait une longue queue qui oscillait dérrière lui. Il n'avait pas l'air hostile. On aurait dit qu'il comprenait que j'étais fini. Qu'attendait-il ? Que je me tire une balle pour pouvoir manger mon cadavre ? Pourquoi ne me tuais-t-il pas tout de suite ?

Mais il ne fit rien. Il restait là, à m'observer, et je l'observais moi aussi. Nous sommes rester comme ça pendant je ne sais combien de temps. Celà me rappelait notre première "rencontre". Mais cette fois je n'avais pas peur. Non, je me sentais même comme protégé. Serait-ce lui qui aurait éloigné tous les dangers de la jungle pour moi ? C'est insensé ! Les aliens ne font pas ça, ce sont des êtres insensibles et cruels ! Alors pourquoi celui-là ne me dévorait-il pas ? Peu à peu, mon esprit s'embruma, j'y voyais de moins en moins clair, ma respiration se fit plus lente, et bientôt, mes yeux se fermèrent d'eux-mêmes...

Quand je les rouvris, une lumière vive m'aveugla. Ce n'était pas la lumière du soleil, mais uen lumière artificielle. Où étais-je ? C'est alors qu'une silouhette se pencha ves moi :
"Hé ! Les gars, venez voir, il s'est enfin réveillé !"
D'autres silhouettes se pressèrent autour du lit où j'étais allongé, et peu à peu, mes yeux s'acclimatèrent à la lumière. Je reconnus alors mes plus proches amis de l'escouade, ainsi que le médecin du régiment.
"Eh ben Johnson, on peut dire que tu nous a fait peur ! Huit jours tout seul dans cette jungle, on croyait tous que t'étaits mort ! Comment t'as fait pour survivre avec toutes ces bestioles ? Tu t'es même pas servi de ton arme !"
C'était Berkowitz, mon supérieur, qui me posait cette question. Je ne savais pas quoi répondre, je n'arrivais toujours pas à comprendre comment j'avais atteri ici, en vie qui plus est. L'alien !
"Euh, les gars...comment vous m'avez récupéré ? La dernière chose dont je me souviens c'est d'avoir perdu connaissance."
Lee, un soldat avec qui j'avais fait mes classes, me répondit :
"On t'a trouvé allongé devant le vaisseau que le commandement avait affrété pour ta recherche. Sans ça je crois bien qu'on t'aurais jamais retrouvé."
J'essayais de réfléchir du mieux que je pouvais, malgré le mal de crâne infernal que j'avais.
"Attendez, quand vous m'avez trouvé, j'étais seul ?"
"Ah non, me dit Berkowitz, y'avait une saloperie d'alien, heureusement on a pu l'avoir avant qu'il ai le temps de faire quoi que ce soit. T'as de la chance de nous avoir, mon gars !"
Tous les soldats eurent alors un petit rire amusé.
"Ouais, t'aurais du voir comment on l'a truffé de plomb ce bâtard, surenchérît Lee, c'était jouissif !"
J'entendis une voix dire :
"Hey, ça va pas mec ? T'es tout blanc"
"Allons, il vaut le laisser se reposer, pensez à ce qu'il vient de traverser, intervint le médecin."

Je les entendis quitter la pièce. Je me retrouvais seul dans l'infirmerie. Je regarda autour de moi, et tout ce que je vis ce fut cet objet métallique, au milieu de mes affaires sales et déchirées. Mon fusil...
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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:17 PM
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La participation de Jul12:

QUOTE
La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux journées que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut, et je devais à présent y apporter la plus grande attention. Je devais coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant qu’ils ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté.
Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin. C’est alors que je le vis, devant moi, une sorte de créature, ou je ne sais quoi. Cette créature était allongé sur le dos, blessée, et assoiffée par cette chaleur, mais qu'était-ce ?
Elle portait un masque en fer, et elle avait plusieurs armes, des sortes de lames aux poignets, et d'autres que je ne connaissais pas.
Une fois ré-hydratée, et remise de ses blessures, elle se releva, se tourna vers moi et devenue tout à coup ... invisible, puis elle s'enfonça dans la jungle. Je n'avais aucune connaissance de l'heure exacte, ni depuis combien de temps j'avais laisser mon escouade. Je me retrouvas seul et perdu dans cette immense jungle .
Seul moyen qu'il me restait, une gourde et un pistolet avec six balles et une recharge.
Je me mis en route vers le Nord, car le soleil me l'indiquait; c'était la direction que j'avais suivi depuis deux jours.
J'entendis un coup de feu au loin, alors je courus aussi vite que je pouvais, et j'arrivais devant un de mes soldat !
Alors je lui demandait :" Qu'est-ce qui vous attaqué ?
- Je ne sais pas, une créature qui avait un long crâne, on aurait dit un chien énorme, noir et avec deux rangées de dents et une bestiole qui lui sortait par la bouche, elle essayait de me mordre capitaine
- Mmhhh ... Où est le reste de la compagnie ?
- Il ne reste plus que John, Smith, et moi capitaine !
- Et que sont devenu les autres soldat ?
- Ils sont tous ... morts ... dévorés par la créature .
- Et dans quelles directions sont partis les autres, et où le vaisseau ?
- Le vaisseau est au Nord, les autres soldats sont à l'est capitaine .
- Allons à l'est soldat, et ramenons John et Smith, puis retournons au vaisseau .
- Oui capitaine "
Nous partîmes vers l'est comme prévu, et deux heures plus tard, toujours pas de signe de John, ni de Smith .
Mon soldat était à bout, il n'en pouvait plus !
Je lui dis alors :" Faisons deux minutes de pause !
- Merci capitaine ... "
Deux minutes plus tard, nous reprîmes la route, mais derrière un buisson épineux, nous aperçevîmes John, qui était en train de se battre contre la créature noire; elle voulait le mordre avec la bestiole qui sortait de sa bouche, alors je tirait sur la créature, et elle tomba au sol .
Je l'avais blessé gravement apparemment, puis je la tuait en lui tirant une balle de mon pistolet dans sa tête, il ne me restait plus que quatre balles !
Il e dit alors :" Capitaine, enfin, merci capitaine ...
- Oui, oui ... où est Smith ?
- Regardez à votre gauche capitaine !
- Oh non !
- Pauvre soldat, mort dévoré !
- Où est notre vaisseau capitaine ?
- Au nord, revenons à notre point de départ avant votre rencontre et direction le Nord pour ficher le camp de cette fichue jungle.
- Bien capitaine ! "
Il y avait eu un carnage, John étai un peu blessé, et Smith était coupé en deux, dévoré de partout et il y avait un trou dans son ventre, étrange.
Une fois le point de départ atteint, nous partîmes au Nord.
Et nous entendîmes un cri, alors nous nous cachâmes derrière un buisson et le spectacle était extraordinaire !
Les créatures se battaient, les créatures avec les bestioles dans leur bouche et les créatures avec un casque et des lames.
Le combat était époustouflant, ils se battaient avec une telle fureur, et avec une telle force.
Les créatures avec un casque avaient écrasé les bestioles noires, alors elles s'en allèrent, mais ces créatures avec des casques nous vîmes !
Nous nous approchâmes plus près,
et nous dirent alors :" Vous, sales bestioles, cassez-vous, c'est notre vaisseau !"
Puis trois autres créatures se rendirent visibles, l'une d'elle avait un bandeau à la jambe, c'était la créature de tout à l'heure.
Ils nous laissèrent nous en aller, à bord du vaisseau, mais qui étaient ces créatures ? Et celle toutes noires ? Étaient-ce des aliens ? des animaux inconnues; ça c'est un mystère que nous ne résoudront jamais !

FIN

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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:18 PM
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La participation du Celticant:

QUOTE
Le malheure n’arrive qu’au moment de bonheure…

La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux journées que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut, et je devais à présent y apporter la plus grande attention. Je devais coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant qu’ils ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté.
Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin. C’est alors que je le vis un chat à dent de sabre qui n’était pas plus haut que trois pommes. Ce dernier n’avait guère l’air de se soucier de moi. Il était beige-orangé avec une crinière qui descendait jusqu’au bas de son dos. Je continuais mon chemin, coupant lianes, arbustres et tout ce qui pouvait entraver mon passage. Je descendais désormais une montagne, pour rejoindre la vallée, pensant que cela pourait me permettre d’avoir un minimum de réseau pour les contacter. J’avais l’impression que l’on me suivait discrètement, mais lorsque je me retournais, il n’y avait rien. Restant sur mes gardes, j’atteignai le bas de la vallée environ une demi-heure plus tard. Soudain, surgit de nul part, quelque chose me sauta à la figure, lachant mon arme, je tentais de me reprendre et de ramper jusqu’à mon pulse rifle M14. cette chose qui avait bondit sur moi s’était maintenant fixé sur mon dos. Ses griffes s’enfoncaient dans ma peau. Prit de peur, je ne pouvais lever le petit doigt jusqu’à ce que je sente quelque chose de visqueux me chatouiller les oreilles. C’était le chat à dent de sabre qui me lèchait. Je le pris dans mes bras le carressant. Il poussa des ronron. Cela durait un temps interminable, puis, je le mettai par terre et je reprenais mon arme. Il commencait à se frotter à mes jambes comme un tout petit chat qui attendait à manger. J’en déduis qu’il n’avait pas du voir beaucoup d’étrangers sur cette planète inhospitalière. Reprenant mon chemin, le chat me suivant, je continuais au nord, où se trouvait la platteforme d’atterissage, priant pour que je ne rencontre aucun individus hostille dans cet enchevêtrement inextricable. Je poursuivais ma route jusqu’à ce que les derniers rayons des deux soleils qui se trouvaient dans ce système solaire ne viennent s’éteindre. Je décidais de me trouver le plus vie possible un abris. En parcourant quelques mètres, je pu trouver deux rochers, l’un addosser à l’autre avec un arbre qui recouvrait le tout. Je décidais de m’installer sous ces rochers. Le chat me suivit et s’installa avec moi. La nuit finissait par tomber, et à mon grand étonnement, le ciel se couvra et il commenca à pleuvoir.

***

-Chef, on a perdu le contact depuis voilà maintenant près de 5h dit le caporal nabil.
-je sais pas ce qu’il fait, si il n’est pas là dans les deux heures qui suivent on se casse de ce merdier !
-reçu, préparez la navette soldat.
Aussitôt une cohorte de soldat commenca à charger des caisses à l’intérieur du dropship.
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
Le cri strident dura environ 5 secondes, puis ce fut à nouveau un grand silence dans la jungle.
-Lieutnant, Mike ne répond plus, les bestioles ont dû l’avoir !
-préparez le vaisseau pour décollage immédiat, envoyez quand même deux hommes en reconnaissance pour voir ce qui s’est passé.
-à vos ordres !
Les marines commencèrent à redoubler d’effort aussitôt. Le Lieutnant scrutait la jungle, immense, à la recherche d’un quelconque sign, peut être de Trag, toujours porté disparu, peut être pour prévoir une attaque éventuel, nul ne le sait et ceci n’a en réalité que peu d’importance.

***

Le chat à dent de sable s’était désormais blotit contre moi, commencant à dormir. Je ne pouvais fermer l’œil, toujours sur mes gardes, j’observais les mouvements des arbres et des feuilles. Tout à coup, j’entendu un cri au plus profond de la jungle et environ 5 minutes plus tard je vis une fusée éclairante qui se situait à peine à 2kilomètres du point où j’étais. je me levais, je réveillais le chat, sortis de mon abris et courais désormais en direction de la fusée. Le chat me suivait toujours, en courant lui aussi du mieux qu’il pouvait. Je ne réfléchissais même plus. J’essayais de rejoindre le plus vite possible la frégate, quand au chat à dent de sabre, il s’amusait à courir après mes pieds.
Tout à coup, sortit de nulle part, un xénomorph me sautait dessus, je lui tirais à temps une décharge de pulse rifle. Le xénomorph s’écrasa, la tête arraché, pendant que moi et mon compagnon continuions à courir. Je m’arrêtais une centaine de mètre plus loin, juste devant l’entrée d’une grotte qui semblait infesté par une sorte de sécrétion. Je me cachais dans les buisson et mon animal de compagnie en fit autant. Deux aliens sortirent du nid. Le chat à dent de sabre se dressa sur ses pattes et se crispa. Je le retîns pour ne pas qu’il fasse de bêtise, mais le chat se débattu et sortit du buisson. Les aliens l’avait repéré et ils s’étaient précipités sur le chat. Je sortis d’un coup du buisson arrosant les deux bestioles de balles. je lançais aussi une grenade incendière dans la grotte qui fit un vacarme haurissant.

***

-chef !
-qu’est ce qui a encore ?
-je crois que je l’ai retrouvé !
-qu’est ce que vous avez repéré ?
-je ne sais pas, les signaux sont très faibles.
-dites donc !
-je crois que c’est Trag.
-en êtes-vous sûr ?
-absolument, je capte son signal radio, bien qu’il ne réponde pas, ca batterie est peut être endommagé.
-c’est possible, il a peut être repéré notre fusée de …
(une explosion se fit entendre à environ 800 mètres dans la jungle)
-caporal, est ce qu’un de vos hommes se trouve dans cette zone ?
-négatif, on est tous sur la plateforme !
-trag si c’est vous je vous coneil de vous bouger le cul, chuchotta le lieutenant.
Des flammes s’élevèrent de l’épicentre de l’explosion
-que doit-on faire ?
-continuez à charger les caisses, Trag va venir, du moins je l’espère ! préparez une équipe prête à dégager le terrain, il y aura surement présence hostille.
-à vos ordres !

***

je venais d’escalader la petite coline ayant dépassé le nid. Derrière moi, une bonne vingtaine d’alien me suivaient, à ma poursuite. Le chat commencait à peiner, je décidais de le prendre dans mes bras, je ne tenais mon pulse maintenant qu’à une seule main. Je tirais un peu partout derrière moi, touchant parfois des xénomorph qui poussaient un cri aigüe avant de tomber à terre.
je courais maintenant depuis 15 minutes. Les aliens aux trousses, j’aperçu les projecteurs de la plateforme, redoublant d’effort, je lachais le chat qui s’était assez reposé. on courait comme si les flammes de l’enfer étaient après nous. Soudain, un alien sortit de terre m’attrappa la jambe et tenta d’attrapper le chat par la même occasion. Je dégommais sans même réfléchir des conséquences sa main, et pour finir la tête du xénomorph. De l’acide se répendu sur ma jambe. J’hurlais et criais au chat :
« rejoins la frégatte »
Ce dernier resta près de moi et me lècha. Je repris des forces et dans un dernier espoir me levant, je couru à la frégatte, des centaines d’aliens se trouvaient au dessus de moi sautant de branches en branches. J’en déperchais une bonne dizaine. J’était à présent sur la plateforme d’atterrissage.
Le lieutenant m’aperçu et dit :
-Trag dépêchez-vous on décampe d’ici !
-affirmatif !
-Trag vous êtes un sacré chanceux…attention derrière vous !
je n’eus pas le temps d’esquiver, qu’un alien, sortit d’une plaque dégoût me prit mon pied, je jettais dans un dernier espoir le chat en l’air qui vola juste devant le vaisseau. je finis emporté dans la bouche d’égoût.
-Marine on décampe vite dit le lieutenant.
le vaisseau s’envola aussitôt et dans un ultime effort, le chat sauta sur la passerelle à l’intérieur du vaisseau.
Le vaisseau décolla sur le champs, un marine repéra le chat et dit :
-lieutenant, on a un pacquet surprise !
Le lieutenant qui n’en revenait toujours pas que Trag avait survécu pour finalement finir comme les autres, séchait ses larmes et dit :
-qu’avons-nous donc ?
-un chaton avec de grandes dents.
-prenons-le, on s’en occupera plus tard.
La passerelle finit par se fermer, le vaisseau déjà en l’air, monta d 'environ 25 mètres pour finalement arroser de roquettes la platteforme complètement envahit . le vaisseau se dirigea ensuite vers le ciel.

***

On a beau prendre soin des autres, on finira toujours par le payer…

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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:19 PM
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La participation d'Alienfighting:

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La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux journées que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut, et je devais à présent y apporter la plus grande attention. Je devais coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant qu’ils ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté. Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin. C’est alors que je le vis un chemin sur lequel y reposait des traces de sang … ce sang n’était pas un sang commun. Il était jaunâtre et il fumait ! Alors je pris un bâton et je le trempas dans ce sang étrange … je ne ressortie rien ! En effet ce sang avait l’air d’être acide. Lorsque je repris ma route j’aperçus au loin un cratère qui fumait encore. Je me mis à courir en croyant voir un vaisseau humain … mais ce que j’y vis aller me choquer toute ma vie ! Deux de ces extraterrestres qu’on appelait « PREDATORS » que moi-même je n’avait jamais vu de mes propres yeux ! Mais c’est à ce moment ou j’entendis des respirations derrière mon dos alors je compris que la minute qui suis mon âme serait perdue à jamais ! Mais je pris mon courage à deux mains et je me tournas et je vis cette autre créature dont ont m’avais parler … un « ALIEN », il balançait sa queue derrière lui, j’avais très peur. Quand soudain un autre PREDATOR lui sauta dessus et une terrible bataille eu lieu !Des coups de griffes , des cris ,du sang qui giclait et Moi j’en profitas pour m’en aller … peut après je retrouvas mon vaisseau et mes amis me faisaient signe…Mais une fois arriver je vis que mes amis étaient découpés en morceaux et pendus sur la carcasse du vaisseau...je les détachas et je les enterras vite , car une armée de ces "ALIEN" arrivée devant moi , alors je partit de cette planète étrange avec mon cœur qui battait encore à toute rompe … . FIN .
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yuto
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:21 PM
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Et enfin, hors concours, ma participation favorite, celle de Gunter. Savourez-là!

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La jungle était dense et inhospitalière. Cela faisait plus de deux journées que j’y cheminais tant bien que mal, luttant contre la végétation envahissante pourvue d’épines cinglantes. Depuis l’attaque de mon escouade, j’avais été séparé des autres, sans aucun moyen de communication, ni aucun repère sur ce monde inconnu. Ma réserve de munitions s’était amoindrie pendant l’assaut, et je devais à présent y apporter la plus grande attention. Je devais coûte que coûte rejoindre notre vaisseau, avant qu’ils ne décident de partir sans moi … s’ils avaient survécus de leur côté.
Arpentant la jungle, je repoussais les épaisses lianes qui me barraient le chemin. C’est alors que je la vis.
Paralysé d’effrois, je restai les yeux rivés sur cette horreur qui allait causer ma mort. J’avais renoncé au premier regard posé, tant cette monstruosité imposait le respect. J’avais cessé de vivre dans mon esprit, cessé de penser. J’attendais l’inévitable… Mais rien ne se passa.
Il me fallut plusieurs longues secondes pour enfin réaliser qu’elle ne m’attaquait pas. Elle ne le pouvait pas. Retenant encore quelques tremblements gênant, j’oubliai enfin ma peur instinctive pour m’adonner à un examen plus méticuleux de la créature. Maintenant que je me savais en sécurité, elle me paraissait belle. Si digne et gracieuse au sein de son règne monstrueux. Le fait qu’elle soit prisonnière, cela à cause de son propre corps, lui conférait une touche de vulnérabilité émouvante.
Me sachant si près, et malgré tout impuissante à m’ôter la vie, elle éructait d’une colère non dissimulée. Crachant et dégoulinantes de bave, ses mâchoires aux reflets argentées ne rêvaient que de plonger dans ma chaire pour me faire regretter cette impardonnable insolence. Elle était celle que l’on craignait, et non celle que l’on contemplait !
Mais si semblable et si différente de ce qui l’entourait, elle était admirable. Robustement dressé tel l’arbre séculaire, elle arborait une large collerette autour de sa tête, pareille à des pétales ceinturant le cœur d’une fleur. Comment ne pas comparer ses multiples bras, pics dorsaux et sa queue aux nombreuses branches distordues des végétaux géants trônant sur cette forêt ? Mais la ressemblance était à double tranchant, si bien qu’une ironie malsaine semblait lui avoir donné vie.
Etrange pourtant que sa progéniture ne soit pas dans les parages pour la protéger. Cette trop grande vulnérabilité l’avait peut-être exclue de sa propre ruche. Une reine rivale l’arracherait probablement un jour ou l’autre à cette existence terne. Mais une grenade soigneusement lancée pouvait mettre fait à son calvaire. Être enraciné au sol ne l’empêchait pas de pondre ses œufs. Le parasite qui avait donné naissance à cette reine s’était peut-être trompé en choisissant cette espèce végétale aux racines profondément ancrées pour pondre son embryon, mais tous ne faisaient pas la même erreur. La preuve en était des hordes monstrueuses que nous avions du affronter un peu plus tôt. Quoique la faune locale pouvait souvent être confondue avec la flore, et inversement, sur cette planète à la verte luxuriance inépuisable. Ces aliens étaient tombés sur une planète plutôt hostile à leur invasion. Mais cela ne pouvait que simplement les ralentir.
Le doigt sur la goupille, je visualisai le chemin que j’allais emprunter pour me mettre à l’abri de la déflagration. En me tournant, je manquai chuter au sol. Glacé d’effroi, je vis de sombres racines se resserrer sur mes pieds et commencer une lente ascension le long de mes jambes. Je compris mon erreur. Depuis le début je n’avais pas bougé, partagé entre la peur et l’admiration. Mais désormais j’étais celui qui était pris au piège. Fait prisonnier à cause de mon insouciance et de ma trop grande confiance par celle que je croyais désarmée.
Que faire ? Me sacrifier pour ne pas servir d’hôte à ces horreurs ou attendre lentement la mort … dans la souffrance.
Pris dans un élan de courage ou d’inconscience, je lâchai la grenade à mes pieds. Ne pouvant quitter du regard l’objet qui me délivrerait, je ressentais chaque seconde comme jamais auparavant. Lorsqu’une masse floue passa devant moi. Aussitôt la grenade s’éleva face à moi, et parti se perdre au loin dans la végétation où elle explosa. Une fraction de seconde, le mystérieux sauveur apparut devant moi, avant de sauter dans l’arbre le plus proche.
C’est à ce moment qu’un œuf alien éclot à quelques mètres de moi. Comment imaginer pire situation que la mienne ? Je ne pourrais éviter les longues heures de souffrance qui m’étaient dues… D’un commun accord, tous ces extra-terrestres en avaient décidé ainsi.
Sautant à mon visage, le parasite me plongea dans le noir, marquant le début de ma suffocante agonie.

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jul12
Ecrit le : Mar 19 2007, 09:47 PM
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Bravo Aquila ^^

Qu'en dîtes-vous de mon texte ?
Un conseil pour progresser ?
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gunter
Ecrit le : Mar 19 2007, 10:27 PM
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Bravo Aquila et Narushima ! ^^
Personellement, entre vos deux fics je n'aurais pas su départager, j'ai bien aimé les deux. Comme quoi Naru, tu devrais peut être écrire un peu plus, ça te réussi.


--------------------
Comment imaginer que sans nous ça puisse être pire...
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Aquila
Ecrit le : Mar 20 2007, 01:34 PM
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Merci. smile.gif

J'ai beaucoup aimé la fic de Narushima, bien proportionnée en développement je trouve.
Celle du Celticant est une bonne idée aussi (lol le chat). ^^
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